Après les guerres et le nombre important de blessés et d’amputés ont permis l’essor des technologies prothétiques et des entreprises qui les conçoivent. Les associations de vétérans de guerre ainsi que le gouvernement américain qui allouèrent des fonds à la recherche permirent une évolution en matière de prothèses.
Aujourd’hui, la plupart des prothèses utilisées, que ce soient de jambes, de bras, d’œil…, le sont principalement dans deux buts : palier à une fonction déficiente et l’esthétique que l’on approche de plus en plus avec des prothèses se rapprochant de plus en plus du membre d’origine.
A l’heure actuelle, les principaux défauts de ces nouvelles technologies sont :
- Du pied de type SACH (Solid Ankle Cushion Hell), en mousse de néoprène, vers 1950
- Un genou articulé, en 1960
Aujourd’hui, la plupart des prothèses utilisées, que ce soient de jambes, de bras, d’œil…, le sont principalement dans deux buts : palier à une fonction déficiente et l’esthétique que l’on approche de plus en plus avec des prothèses se rapprochant de plus en plus du membre d’origine.
A l’heure actuelle, les principaux défauts de ces nouvelles technologies sont :
- L’utilité de la prothèse, il ne faut pas que celle-ci soit un nouvel handicap pour le patient, elle doit réellement lui permettre de revenir au plus proche de son état physiologique normal et être adapté pour lui permettre de retrouvé de « vraies » sensations si ce n’est pourquoi pas, dans un futur proche pouvoir l’améliorer en portant des charges plus lourdes, en courant plus vite ou en résistant au feu…
- Le prix, il faut rappeler que l’opération de Marc Merger, ce jeune paraplégique qui a pu remarcher suite à l’implantation d’un boîtier électronique coutait 30 000 euros, à cela il faut ajouter une réadaptation longue et coûteuse. Mais ces opérations sont de plus en plus prise en charge par l’organisme de sécurité social et des fonds d’aide pour le handicap vise à aider les personnes nécessitant une opération.
- Le risque lié à l’opération en elle-même. La plupart de ces opérations nécessite une anesthésie générale qui n’est jamais absente de tout risque, de plus dans le cas de certains implants qui vont être localisé dans le cerveau, les risques sont augmentés du fait de la complexité de celui-ci.
- Le risque de rejets est également à prévoir, à quoi bon remplacer un membre défaillant si c’est pour devoir se retrouver sous immunosuppresseurs tout le reste de sa vie ou pour mettre son système immunitaire en alerte. Mais celui-ci est de plus en plus écarté de par l’utilisation de matériaux “biocompatibles” en lieu et place du métal qui tranche les tissus fragiles, se dégrade avec le temps et augmente dramatiquement les chances de rejet.
- Le problème esthétique est également à prendre en compte, il faut réussir à faire des prothèses ressemblant le plus possible au membre d’origines, on cherche à faire des implants implantables de plus en plus petits afin qu’ils puissent devenir invisible.