Le stimulateur cardiaque ou pacemaker
Le stimulateur cardiaque est un dispositif électrique implanté dans l’organisme après intervention médicale pour stimuler le cœur lorsque celui-ci est trop lent.
Historique
En 1780 qu’un chercheur italien Luigi Galvani démontra que la stimulation d’un nerf provoquait la contraction du cœur. Il faut attendre 1931 pour que Albert Hyman un cardiologue New-Yorkais dépose un brevet pour une machine qui délivre des impulsions au cœur par l’intermédiaire d’une aiguille enfoncée dans ce dernier. Dans les années 70 un premier stimulateur programmable par boitier externe et utilisant des radiofréquences est inventé. C’est à la fin des années 90 que l’on voit apparaitre un stimulateur multisite qui permet de stimuler le ventricule et l’oreillette lors d’insuffisance cardiaque.
Composition du stimulateur cardiaque
Le boitier
Le boitier est composé d’une batterie au lithium qui permet de donner de l’énergie au stimulateur, l’avantage de cette batterie et qu’elle n’est pas rechargeable et qu’elle a une longue durée de vie ce qui permet au stimulateur de rester longtemps dans l’organisme.
Ensuite, nous avons un système électronique permettant de délivrer des impulsions électriques calibrées en fonction de la fréquence, de l’amplitude et de la longueur d’onde. Ces paramètres sont choisis par le chirurgien en fonction des besoins du patient.
Puis, il y a ce qu’on appelle un système de détection de l’activité cardiaque, c’est un système de sentinelle qui permet en fait de détecter toute défaillance du cœur et de fonctionner à la place de ce dernier.
Un système de mesure qui permet de donner des informations sur l’état de la batterie, et sur les statistiques de fonctionnement.
Enfin, il y a une antenne radiofréquence qui permet la communication des données à travers la peau vers un boitier externe.
Le boitier est composé d’une batterie au lithium qui permet de donner de l’énergie au stimulateur, l’avantage de cette batterie et qu’elle n’est pas rechargeable et qu’elle a une longue durée de vie ce qui permet au stimulateur de rester longtemps dans l’organisme.
Ensuite, nous avons un système électronique permettant de délivrer des impulsions électriques calibrées en fonction de la fréquence, de l’amplitude et de la longueur d’onde. Ces paramètres sont choisis par le chirurgien en fonction des besoins du patient.
Puis, il y a ce qu’on appelle un système de détection de l’activité cardiaque, c’est un système de sentinelle qui permet en fait de détecter toute défaillance du cœur et de fonctionner à la place de ce dernier.
Un système de mesure qui permet de donner des informations sur l’état de la batterie, et sur les statistiques de fonctionnement.
Enfin, il y a une antenne radiofréquence qui permet la communication des données à travers la peau vers un boitier externe.
Les sondes
Les sondes permettent de relier le boitier au cœur. Elles sont souples et sont constituées d’un centre qui est conducteur et d’une gaine isolante. Afin d'assurer un meilleur contact avec le muscle cardiaque, elles peuvent être pourvues d'une tête relarguant un médicament luttant contre l'inflammation locale.
Un boitier peut être constitué d’une seule sonde (pile monochambre), de deux sondes ( pile double chambre).
Les indications
Un stimulateur cardiaque doit être posé lorsque le cœur est trop lent par rapport aux besoins de l’organisme, ce qui peut provoquer de divers troubles comme par exemples : des fatigues, des malaises, des insuffisances cardiaques.
Il se peut également que le stimulateur soit implanté non pas pour une bradycardie, mais parce que les ventricules et les oreillettes ne sont pas synchronisés, ce qui entraine des pathologies liées à l’asynchronisme du cœur, dans ce cas, le stimulateur permettra que le cœur soit à nouveau synchrone.
Il se peut également que le stimulateur soit implanté non pas pour une bradycardie, mais parce que les ventricules et les oreillettes ne sont pas synchronisés, ce qui entraine des pathologies liées à l’asynchronisme du cœur, dans ce cas, le stimulateur permettra que le cœur soit à nouveau synchrone.
Pose d’un stimulateur
La pose se déroule à l’hôpital par un chirurgien cardiologue. Avant toute chose, le patient doit subir des examens comme par exemple, la numération de formule sanguine ou encore le temps de coagulation.
Une incision au niveau d’une des clavicules va permettre à la sonde de pénétrer dans une veine et de se rendre jusqu’à la cavité cardiaque. Cette procédure est suivie par un appareil de scopie. Le bon positionnement de la sonde est suivi par l’appareil de scopie et par la mesure du seuil de stimulation qui correspond à l’énergie électrique minimale transmise à la sonde et provoquant une contraction du muscle de la cavité cardiaque.
Après cela, la sonde est reliée au boitier qui est introduit dans une poche confectionnée sous la peau dans la région sous claviculaire ou dans le muscle sous pectoral.
Tout cela se déroule sous anesthésie locale et l’opération dure environ 1 heure. Le patient est gardé ensuite en observation et pourra sortir 48 heures après avoir été opéré.
Une incision au niveau d’une des clavicules va permettre à la sonde de pénétrer dans une veine et de se rendre jusqu’à la cavité cardiaque. Cette procédure est suivie par un appareil de scopie. Le bon positionnement de la sonde est suivi par l’appareil de scopie et par la mesure du seuil de stimulation qui correspond à l’énergie électrique minimale transmise à la sonde et provoquant une contraction du muscle de la cavité cardiaque.
Après cela, la sonde est reliée au boitier qui est introduit dans une poche confectionnée sous la peau dans la région sous claviculaire ou dans le muscle sous pectoral.
Tout cela se déroule sous anesthésie locale et l’opération dure environ 1 heure. Le patient est gardé ensuite en observation et pourra sortir 48 heures après avoir été opéré.