Pacemaker cérébral
Introduction
L’implant électronique cérébral se nomme le pacemaker cérébral, il est composé d’une électrode implantée dans une partie du cerveau ciblée suivant le dysfonctionnement cérébral du patient. Par exemple, il peut être implanté dans l’hippocampe qui reprend de la vigueur grâce à une stimulation profonde qui augmente son volume de 5 à 8 %. L’implantation est dangereuse et malgré l’intérêt pour les maladies tel Alzheimer ou Parkinson, les médecins restent prudents.
Traitement de certaines maladies
C’est une stimulation cérébrale qui permet de supprimer les tremblements de certains patients pour le moment ultrasélectionnés. D’infimes impulsions électriques permettent de bloquer les signaux anormaux responsables des tremblements.
La mise au point pour Alzheimer est plus discutable car la maladie touche la majorité du cerveau et entraîne des troubles du comportement. « Le bénéfice est noyé dans le risque » pour certains spécialistes qui ne sont pas sûrs que cette technologie puisse aider les malades d’Alzheimer. Le cerveau n’est pas toujours réparable par neurostimulation.
La mise au point pour Alzheimer est plus discutable car la maladie touche la majorité du cerveau et entraîne des troubles du comportement. « Le bénéfice est noyé dans le risque » pour certains spécialistes qui ne sont pas sûrs que cette technologie puisse aider les malades d’Alzheimer. Le cerveau n’est pas toujours réparable par neurostimulation.
Grâce à une stimulation du cerveau profond, on a même réussi à traiter une dystonie (affection neurologique provoquant des tremblements de la tête, du cou et des bras) à l’aide de microélectrodes dans le globus pallidus. Le problème est que peu de spécialistes possèdent la capacité de positionner les microélectrodes.
Issus du traitement par électrodes de Parkinson, certains spécialistes ont aussi traité des patients ayant les TOC (troubles obsessionnels compulsifs) les plus sévères et ils s’attaquent à présent à la maladie Gilles de la Tourette.
Issus du traitement par électrodes de Parkinson, certains spécialistes ont aussi traité des patients ayant les TOC (troubles obsessionnels compulsifs) les plus sévères et ils s’attaquent à présent à la maladie Gilles de la Tourette.
On espère pouvoir un jour traiter des maladies courantes telles l'épilepsie, la dépression et certaines formes de paralysie et plus généralement les affections provoquées par un dysfonctionnement neurologique grâce à ces petites électrodes implantées dans nos cerveaux.